S’il est évident que vos carreaux doivent vous plaire sur le plan esthétique, vous devrez vite prendre en compte l’usage de votre pièce faute de faire de très mauvais choix. Avant de choisir vos carreaux, posez-vous les bonnes questions: quel type de pièce va accueillir le carrelage? Y-aura-t-il beaucoup de passage? La pièce sera-t-elle humide, sujette aux tâches et autres trace? Est-elle en rez-de-chaussée ou deuxième étage? Les réponses à ces questions vous aideront à choisir le matériau adéquat. Par exemple, la pierre blanche naturelle, la faïence, le travertin sont des matériaux très esthétiques mais sensible à l’usure. Poreuses, elles ne seront pas adaptées aux pièces humides et salissantes sans l’application de traitement.
Pour les pièces à fort passage, privilégiez les matériaux très robustes comme les pierres naturelles telle que l’ardoise, le granit et le marbre, qui toutefois seront froides au contact et assez chères. Vous aurez encore le choix de solutions intermédiaires avec le grès cérame, les carreaux de ciment, et la terre cuite, également très robustes et chaleureuses. Toutefois si votre objectif est un entretien minimum, les deux dernière solution qui nécessitent des traitement particuliers seront à proscrire. En bref vous l’aurez compris, le carrelage offre des solution pour chaque cas mais il faut bien cerner vos besoins avant l’achat. Pour vous aidez par la suite, référez-vous au classement UPEC*. Ce classement vous donnera des indication sur la résistance des carreaux.
En dehors de l’aspect esthétique, le critère régulièrement pris en compte dans le choix des carreaux reste l’entretien. En effet, le carrelage est l’un des revêtements de sol les plus hygiéniques et faciles à entretenir… pour peu de faire quelques bons choix. Dans un premier temps, comme nous le disions précédemment,il faudra opter pour certains carreaux plus facile à entretenir grâce aux propriété de leurs matériaux (grès cérame, grès étiré, ciment traité).
En plus de cela quelques astuces permettent de choisir un carrelage facile à vivre. Tout d’abord la couleur : exit le blanc optez pour des tons cassés tirant vers le ”sable” ou le gris. Au plus le carrelage sera foncé et au plus l’entretien sera évident. Attention toutefois, le noir peut s’avérer difficile d’entretien ! Dans la pose, privilégiez des joints les plus minces possibles et de préférence dans un coloris assez foncé également. En effet le joint est le point faible du carrelage niveau entretien, c’est sur lui que vienne se loger toutes les impuretés. Enfin, pensez à privilégier les carreaux aux surfaces lisses, plus facile à nettoyer que des carreaux rugueux ou striés.
Dans le choix de votre carrelage, il est important de garder en tête que celui-ci doit pouvoir s’intégrer avec le style de votre intérieur (surtout lorsqu’il s’agit d’une rénovation, et même en construction neuve). Pour cela, évitez les grands écarts de style ou privilégiez une solution assez neutre qui pourra s’adapter partout. Côté budget attention de ne pas réaliser de fausses économies. En effet, l’industrie du carrelage propose deux types de produits: des carreaux dits de ”premier choix”, des carreaux de ”second choix ”, des carreaux économiques et des carreaux de 3e choix.
Les carreaux ”premier choix” seront bien entendu plus chers mais ils présenteront des critères de qualité supérieurs définis par des normes ( en détails ces carreaux n’accepteront que 5 carreaux défectueux sur 100 maximum). Les carreaux de second choix, choix économique ou 3e choix, seront bien entendu moins chers mais ne pourront pas présenter de telles caractéristiques. Si ces carreaux pourront faire l’affaire pour les petits budgets et dans certains cas où la qualité optimale ne sera pas nécessaire, n’oubliez pas que seuls les carreaux de premier choix pourront donner lieu à une garantie décennale. Le niveau de choix de votre carreau devra être indiqué sur l’étiquette, pensez donc à vérifier cette information.
L’aspect et le style sont évidemment des critères de sélection lors de l’achat de votre revêtement de sol. Pourtant l’aspect n’est pas le seul critère de sélection. Concept céramic est à vos cotés pour vous recommander et vérifier les normes en vigueur pour votre plus grand confort.
Le classement CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) « UPEC » des locaux et des revêtements de sol est un classement démontrant la durabilité du matériau en fonction de l'usage.
Chaque lettre est munie d'un indice numérique qui permet, de façon schématique mais suffisamment précise, d'indiquer :
A quoi correspond l’acronyme UPEC ?
Notons que :
Locaux d’habitation:
Bâtiments commerciaux:
La sous-couche peut-être facultative ou obligatoire en fonction de la technique et des contraintes rencontrées. Elle possède plusieurs propriétés :
Le choix de la sous-couche est lié aux caractéristiques du produit (mentionné dans la fiche technique) ou des obligations (règles de copropriété, normes …). Pour connaitre la sous-couche adaptée, nous vous conseillons de demander conseil à votre distributeur.
Le PVC Souple
Le PVC souple est également appelé Linoléum. Il existe en rouleaux, lés ou dalles. Les revêtements PVC souples possèdent une sous-couche textiles intégrées et se pose avec de la colle ou à l’aide de double face.
Le revêtement en PVC a pour avantage d’être facile et rapide à poser. En fonction du type de pose (sans colle), il laisse le support intact ce qui permet de décorer simplement.
Pour une pose facile et un rendu parfait, nous vous conseillons de dérouler le rouleau 24h avant la pose du revêtement.
Les LVT
Le revêtement PVC en dalle ou en lame est parfois désigné sous l’appellation de sol PVC modulaire, PVC LVT (Luxury Vinyl Tile), PVC LLT (Loose Lay Tile) ou encore PVC stratifié.
Ce produit est très tendance et possèdent de nombreux avantages comme une résistance importante et une pose facile.
Il existe 2 types de produits, les dalles ou les lames qui peuvent être posée en pose flottante ou collée. Les revêtements sont également clipsable ou plombant (nouvelle technologie développée pour une application aisée et modulable)
Les fournisseurs développent de larges gammes qui permettent d’allier esthétisme et technique pour des utilisations diverses (habitats, locaux commerciaux et industriels, lieux spécifiques)
Le parquet stratifié n'est pas, à proprement parler, un vrai parquet, comme peut l’être les parquets massifs et parquets flottants.
Il est en effet constitué d'un aggloméré sur lequel est posé une photographie qui imite les fibres de bois du vrai parquet.
Le stratifié est économique mais il possède quelques contraintes :
Le parquet contrecollé et le parquet massif
Le parquet massif est constitué d’une seule essence de bois alors que le parquet contrecollé est constitué de trois couches de bois.
La couche supérieure du parquet contrecollé (la couche visible) est faite d’un bois noble : Chêne, Hêtre… Plus cette couche est épaisse, plus le parquet pourra être poncé. La durée de vie d’un parquet contrecollé dépend donc directement de l’épaisseur de sa couche d’usure.
Le revêtement PVC en dalle ou en lame est parfois désigné sous l’appellation de sol PVC modulaire, PVC LVT (Luxury Vinyl Tile), PVC LLT (Loose Lay Tile) ou encore PVC stratifié.
Ce produit est très tendance et possèdent de nombreux avantages comme une résistance importante et une pose facile.
Il existe 2 types de produits, les dalles ou les lames qui peuvent être posée en pose flottante ou collée. Les revêtements sont également clipsable ou plombant (nouvelle technologie développée pour une application aisée et modulable).
Le parquet stratifié n'est pas, à proprement parler, un vrai parquet, comme peut l’être les parquets massifs et parquets flottants.
Il est en effet constitué d'un aggloméré sur lequel est posé une photographie qui imite les fibres de bois du vrai parquet.
Le stratifié est économique mais il possède quelques contraintes :
Le parquet contrecollé et le parquet massif
Le parquet massif est constitué d’une seule essence de bois alors que le parquet contrecollé est constitué de trois couches de bois.
La couche supérieure du parquet contrecollé (la couche visible) est faite d’un bois noble : Chêne, Hêtre… Plus cette couche est épaisse, plus le parquet pourra être poncé. La durée de vie d’un parquet contrecollé dépend donc directement de l’épaisseur de sa couche d’usure.
Avant la pose il est facile de faire la différence entre les deux. Une fois posé, visuellement, le parquet contrecollé et le parquet massif offrent le même résultat.
Le marché des moquettes se divise en deux catégories les collectifs (bureaux et hôtels) et le résidentiel.
La moquette en résidentiel est appréciée pour ses qualités acoustiques, thermiques et le confort. Aujourd’hui les nouveaux produits traités antisalissure et anti-poussière rendent l’entretient aisé pour un plus grand confort. Les personnes sensibles peuvent désormais jouir d’un confort sans avoir les inconvenants de nettoyage.